Cette jeune fille n'aimait aps la vie
Tous les jours étaient pour elle un calvère.
Elle cessa de marcher dans la lumière
Car mourir était sa seule envie.

Afin de surmonter sa mélancholie,
Elle trouva un moyen de survie.
Seule dans un endroit lointain
Elle exprimait son chagrin.

Ce qu'elle faisait la libéra
De ce poids qui en son coeur s'installa.
A se voir souffrir
Elle éprouva un mailin plaisir.

Toujours seule elle hérait
A la recherche d'une ame qui la comprendrait.
Mais sa solitude devint insupportable
Et sa vie ingérable.

Il y avait bien longtemps qu'elle le désirait;
Obtenir la liberté.
Alors ce fut cette soirée
Que la Mort dans ses bras vint la touver.

Dans sa baignoire, gisante la Mort la trouva;
La liberté fit rayonner son visage de joie.
Et en même temps que dans les cieux elle s'élevait,
Des gouttes de sang raisonnaient sur le parquet.

Ces gouttes représentaient
La souffrance que la vie lui procurait;
Une malêtre que personne ne vit.
Il ne lui restait plus qu'à devenir un souvenir que le temps oublit

. Plus juene, on nous a éduqué
Avec une notionde bonté.
Tout nous semblait exquis
Dans ce monde sans interdit.

Mais au fil des jours
La vérité a éclaté.
Le temps était devenu lourd
Et la bonté apparut comme un souvenir effacé.

Je regrette l'époque où je pouvais:
Rire sans être interpelée,
Courir sans être arrêtée;
Aimer sans être repoussée!

Aujourd'hui tout me semble moche
Dans ce monde de débauche.
Le soleil se lève pour nour bruler;
La pluie tombe pour nous noyer.

Les masques sont mis bas par le temps
Qui reprend les rêves des petits enfants.
Et nous vivons sans rêv, ni espoir
Ne sachant que faire ni que voir!

Ho Marion
Quel joli nom
C'est un nom qui brille
Pour une si jolie fille
C'est un nom qui petille
Pour une fille si gentille
Pourquoi te faire du mal ?
Tu souffre tant que sa ?
Avec ton bout de métal,
Pourquoi te fait tu ça ?
Arrête je t'en pris
De te faire de la peine
Souri à la vie
Car tu en est la reine
Et si tu réfléchi bien
Tout sa ne rime a rien
Alors pense au bouheure
Et sort de ton malheur.

  Lise

  Tu m’as volé ma liberté
Celle que j’avais toujours voulu gardé
Maintenant tu me la rendu
Mais c’est toi que perdu
Peut-être j’aurais du te le dire
Tout les moments que j’ai passé à pleurer plutôt qu’à rire
Mais j’avais peur de toi
Tu étais toujours violent avec moi
Tout l’alcool et le shit
A réussi à donner naissance a une petite
La naissance d’un enfant
Ne doit pas être pesant
Mais la liberté de s’exprimer
Et enfin d’aimer pour de vrais
Mais nous on s’est séparés
De  plus en plus, on s’est éloignés
Et si je le pouvais
Je t’offrirais ma liberté…... 

             Marion

J’ai cru t’avoir perdu

Mais heureusement tu est revenu
La tendresse d’un espoir retrouvé
Et plus qu’un baiser volé
La vie à deux
Et je vais beaucoup mieux
C’est comme on rayon de soleil
Le doux parfum du réveil
Enfin tu est là
Blotti contre moi
Et mon cœur bat
Rien que pour toi …

              Marion

Le lever du soleil
Fait vivre toute les abeilles
Le parfum délicat des fleurs,
Ces milliers d'odeurs
Remplis mon cœur de chaleur,
Le matin es là, c’est l’heure,
Brillent de mille feu
Comme les flammes ardente du feu
Ou un petit sourire
Nous fait plaisir et nous éclairent
D’une lumière angélique
Qui prend un air diabolique
La douceur d’un nouveau née
Ne vaut peux être pas une vie volée …  

       Marion

Nous passons tous une vie à souffrir
Et des moments sans sourire.
Tous nos rêves s'effacent

Et l'envie d'en finir les remplace.

La vie est inégale devant l'humanité
Certains vivent dans la bonté
Alors que d'autres demeurent dans la cruauté.
Heureusement, la Mort vient nous égaler.

La Mort répare les erreurs de la vie
La Mort emène nos ames au paradis.
La Mort est une fatalité qui égale l'Humain
La Mort nous condamne à la même fin.

L'Homme est destiné à mourir
Bien que condamné à vivre.
Mais qu'importe son destin,
La Mort se jouera de lui comme un pantin

          Alexia

E regrette les temps où j’étais paresseux
Mes journées se passaient, couché sous les palmiers,
Le brin d’herbe à la bouche et chapeau sur les yeux,
Par les vagues bercé, par le soleil  brûlé.

J’aimais sentir le vent caresser mes cheveux,
Le sable fin entre mes doigts de pieds,
Me laissant envahir de si douces pensées…
Alors du monder entier amoureux.

Je repartais le soir au refrain des bateaux,
Sous une pluie d’étoile et de chants matelot.
L’océan lentement avalait le soleil.

Maintenant, je me perds dans la marée humaine,
Me noyant peu à peu dans les cris, dans la haine,
Sans cesse recherchant ces moments de merveille.

                     Joris Christien

Je descends le chemin de nom village
Le froid piquant mai et gelé du matin
Glace mon visage et brûle mes mains
Le vent souffle dans mes cheveux sauvages

J’ai en horreur ces longs matin si froids
Il est si tôt, il fait encor nuit
Et j ‘en oublie la douceur de mon lit
Dehors la neige tombe sur les bois.

Je veux vite oublier le triste hiver
Qui fait rouspéter les écolières
Pour entendre tous les oiseaux chanter.

Heureusement bientôt il fera chaud
Toutes les fleurs fleuriront à nouveau
Et on pourra aller se promener.

           Jessica Léal